“La beauté comme paradigme” est une réflexion sur le changement en cours où le grès cérame, matériau hautement performant, joue de plus en plus un rôle qui était auparavant surtout dévolu aux matériaux naturels, lesquels ne sont pas toujours durables et performants. Les carreaux effet marbre représentent une des conquêtes de l’innovation technologique qui allie la beauté esthétique du marbre à des solutions éthiques et performantes.
La beauté comme paradigme
11 July 2023
Atlas Concorde Studio Milano confirme sa vocation d’être un lieu de relations où les professionnels sont invités à participer à des initiatives culturelles sur les tendances de l’architecture et du design.
Ce jeudi 20 octobre, le showroom a accueilli le deuxième débat du cycle de rencontres organisées en collaboration avec la revue Interni.
Le thème de l’initiative était la beauté inspirée du look des marbres : un monde d’esthétismes qui, de la Rome de borroméenne à la Venise du Palladio, a conformé la beauté de nombreuses villes italiennes au cours des siècles.
Aujourd’hui, fruit d’une importante évolution technologique, dans un équilibre parfait entre esthétique, durabilité, design et émotion, même le modèle classique a été contaminé par la culture du Moderne et du Post-moderne. La tradition du marbre a évolué et fait place au récit de l’esthétique des marbres à travers des solutions en grès cérame capables d’en capturer la beauté et d’offrir le rendu d’une surface qui n’est plus une simple imitation, mais une réinterprétation de la matière.
Le rôle des revêtements en grès effet marbre est de conserver la saveur classique des pierres, en créant des solutions contemporaines pour l'architecture et les projets de design d’intérieur.
Le débat s’est développé avec la contribution de Francesco Fresa, co-founder de Piuarch, qui a souligné la valeur de la céramique dans la recherche constante de son identité en tant que matériau, et le designer Raffaello Galiotto qui, fort de son expérience, a fait un approfondissement sur la matière naturelle et sur comment elle devra se mesurer à des outils contemporains, par exemple le 3D.
La modération du débat a été assurée par Patrizia Calalano, journaliste de la revue Interni.